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on parle de nous

« C'était tellement beau, puissant, ressourçant ! Merci éternel ! »

Aurélien

France 3 Occitanie 
journal régional du samedi 1er novembre 19h

Bonjour Toulouse ! 
podcast diffusé le 26/10/2025

France Bleu 
ICI Occitanie

"Parler de la mort, mais aussi se marrer"L'info d'ici, ICI Occitanie
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Canal Sud 

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Festival à la Mort, à la VieCanal Sud
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Entretien avec Alix HowardCanal Sud
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Dépêche du Midi 
édition de Toulouse du 24/10/2025

Le 18 septembre, après une journée de grève et de manifestations, ils sont plus d’une cinquantaine à se retrouver dans la Maison de la citoyenneté du quartier des Minimes. Au milieu de cheveux blancs et de crânes à la chevelure éparse, on distingue quelques têtes plus jeunes. Tous assistent ce soir à la présentation du festival « À la mort à la vie », qui s’est tenu début novembre à Saint-Felix-Lauragais. Autour de « l’apéro de l’au-delà » qui s’ensuit, Claude, 78 ans, explique qu’en tant que juif-Espagnol, l’humour noir, ça le connaît ; alors il préfère rire de la mort. « Je mourrai dans les cinq ou dix prochaines années et ça me fait peur. Mais je suis là pour la secouer, cette peur. » S’il participe à ce genre de réunions, c’est parce qu’« être en groupe, ça fait du bien », sourit-il tout en engloutissant un petit four.

Dépêche du Midi 
édition de Revel du 26/10/2025

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Alors que de nombreuses communes du Tarn et du Lauragais vont se mettre à l'heure d'Halloween avec force citrouilles, déguisements et distribution de bonbons, le village de Saint-Félix-Lauragais pousse le bouchon de l'horreur plus loin : il va accueillir un festival de la mort ! "À la mort, à la vie" Intitulé "Festival à la mort, à la vie", il est organisé par l'association Ad Mortem, basée à Gardouch (Haute-Garonne). Sept femmes sont à l'origine de ce format original. "Nous proposons trois jours immersifs avec une programmation riche et grand public, pour tous les âges, avec des tables rondes et des conférences inspirantes, des ateliers culinaires et artistiques, des expositions, une ludothèque mortelle , une fresque collective, des spectacles, des concerts...", développe Alix Howard, présidente de l'association Ad Mortem. Parler de la mort pour mieux la vivre Les organisatrices insistent sur un objectif bien précis à travers cet événement insolite : "Il abordera

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Et si l’on célébrait les morts ? C’est une pratique – une tradition même – inhérente à cette période de l’année. Dans de nombreuses cultures, que ce soit en Europe ou outre-Atlantique, les catholiques profitent des deux premiers jours du mois de novembre – et parfois même de la veillée – pour honorer leurs défunts. Mais le « jour des Morts » se célèbre de bien des façons. Au Mexique, c’est l’aspect joyeux et festif qui prime – on parle bien entendu du Dia de los muertos et des incontournables calaveras. Mais côté européen ? La Toussaint se veut plutôt un moment solennel, partagé en famille. Il faut dire que la question de la mort a longtemps été – et est encore – tabou, dans nos contrées. Et c’est justement pour « libérer la parole », lever le voile sur cette question que sept femmes engagées ont choisi d’organiser un festival lui étant consacré. Un festival inédit, « citoyen, artistique et intergénérationnel » qui prendra place, trois jours durant – du vendredi 31 octobre au dimanche 2 novembre 2025 – au cœur du village médiéval de Saint-Félix-Lauragais.

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Si on parlait de la mort pour mieux la vivre, c’est la promesse du tout nouveau Festival « A la Mort, A la Vie » organisé par l’association Ad Mortem. Du vendredi 31 octobre au dimanche 2 novembre 2025, le village médiéval de Saint-Félix-Lauragais sera l’écrin de ce festival inédit en région Occitanie, citoyen, artistique et intergénérationnel qui ose parler de l’inévitable autrement, avec sens, audace et créativité. Un évènement pour tous les publics dans le château et le village Cette première édition est orchestrée par 7 femmes engagées, issues de la culture, de l’évènementiel, de l’art et de la médiation : Alix Howard, Sophie Fleury, Elise de Barthès, Sophie Nanin, Urielle Hug, Caroline de Rauglaudre et Annie Mitault. Ensemble, elles ont imaginé un format original autour de la thématique de la mort abordée dans toute sa diversité : « 3 jours d’une programmation riche et grand public, pour tous les âges, avec des tables rondes et des conférences inspirantes, des ateliers (culinaires, artistiques et réflexifs), des expositions et une librairie, une ludothèque mortelle et une bibliothèque vivante, une fresque collective, du théâtre, des spectacles, des concerts… mais aussi, parce que c’est la vie, des temps autour du culinaire et des recettes funéraires. Le public découvrira des espaces mis en scène où la mémoire, la transmission et la célébration de la vie prennent tout leur sens, grâce à des intervenants et des artistes de tous horizons » explique Alix Howard, présidente de l’association Ad Mortem.

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La mort ponctue nos vies, elle est universelle, et reste un sujet délicat et difficile à appréhender. Même si on la considère comme la fin de quelque chose, elle appelle aussi une suite et soulève des questions trop souvent évitées : Comment gérer le décès d’un proche ? Comment vivre l’une des expériences humaines les plus difficiles ? Comment se reconnecter aux autres ? Comment se relever ? Car en effet, traverser le deuil (du latin dolium ou douleur) ne se résume pas à la souffrance et au chagrin. C’est une étape nécessaire pour survivre à la perte des êtres que l’on a aimé, chérir leur mémoire, conserver ce que l’on a partagé ensemble et transmettre ce que l’on a reçu d’eux. Un évènement inédit en Occitanie porté par 7 femmes engagées De ce constat est né “À la Mort, À la Vie”, un évènement inédit en Occitanie imaginé par l’association Ad Mortem. Il est porté par sept femmes engagées, professionnelles du funéraire, de la culture, de l’événementiel, de l’art et de la médiation. Leur ambition ? Redonner une place à nos morts dans la société, moderniser les habitudes en proposant des options funéraires alternatives, sensibiliser aux enjeux environnementaux, renouer avec les traditions culinaires, favoriser la transmission et créer un espace où culture, mémoire et lien social se rencontrent.

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